Une vie dans le surnaturel


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Extrait du CHAPITRE I  –  Les origines de ma famille

Extrait du CHAPITRE II  –  de l’enfance à la vie d’adulte

(…) Très tôt, dès l’enfance, je me suis mis à faire des rêves prémonitoires. J’en fis plusieurs où je voyais une carte du monde, mais elle ne ressemblait en rien à notre Terre actuelle. Il y avait beaucoup d’iles. J’avais le sentiment que cette carte était l’avenir de notre planète, par suite de diverses catastrophes naturelles.
Une nuit, je fis un rêve où il fallait fuir, car l’eau montait dangereusement. L’on devait courir vers les endroits les plus hauts pour ne pas être englouti, mais malgré tout, l’eau finissait par tout recouvrir. Alors que j’étais entouré d’eau, je me demandais comment j’allais pouvoir survivre, lorsque je vis à côté de moi un garçon qui était en prière, et grâce à cela, il flottait en faisant la « planche » (tout en priant), et je fis comme lui.
Ces deux rêves étaient un peu angoissants, d’autant que j’entendais souvent mes parents dire : « Plus que trois papes avant la fin des temps », d’après la prophétie des papes de saint Malachie (1094-1148, évêque d’Irlande). J’étais donc persuadé que des choses allaient se passer, et les messages prophétiques actuels confirment ces rêves. La topographie de notre Terre devrait fortement changer et théoriquement, peu de gens survivront. (…)

(…) Mon frère m’ayant précédé, je fis la même école que lui, quatre années d’études d’arts plastiques. À cette époque dans certains métiers, on orientait facilement après la troisième. Je quittais donc un collège de garçon très classique et BCBG pour un univers d’artiste où les matières qui avaient peu de valeur au collège, comme le dessin, devenaient subitement primordiales et inversement. Et naturellement nous étions un condensé d’élèves doués en dessin.
C’était une école privée « sous contrat », c’est-à-dire subventionnée par l’État, donc très bon marché. Il y restait encore quelques religieuses, vestige d’une époque où l’Église catholique créait des écoles techniques pour permettre à la classe ouvrière de sortir du sous-développement, avant que l’État ne prenne le relais.
Durant la toute première matinée d’école, les élèves des classes supérieures, déguisés en professeur, nous faisaient croire que nous allions devoir poser nu à tour de rôle, ce qui nous avait glacés de terreur. D’autant plus qu’ils nous avaient raconté toutes sortes de choses aberrantes et avaient des comportements étranges, comme cette pseudo-professeur de français qui se déplaçait en rollers dans la salle de classe. Ils nous racontaient aussi que certains matériels pouvaient être dangereux. On en déduisait qu’on n’était pas sûr de finir nos études vivants… ou entier.
En parallèle à ça, alors que nous écoutions avec effroi ce que nous racontaient ces faux professeurs, que l’on prenait pour des vrais, un faux élève se trouvait parmi nous. Soudainement, l’on vit deux faux voyous entrer dans la classe et se précipiter sur lui avec violence, genre « règlement de comptes ». Ils l’embarquèrent manu militari et on le vit revenir quelques minutes plus tard, le visage en sang, reprendre ses affaires et partir. Nous étions tous terrorisés, se demandant comment nos parents avaient pu nous envoyer dans ce type d’établissement. On avait l’impression d’être dans une zone de non-droit. Une jungle peuplée de gens déséquilibrés. (…)

Extrait du CHAPITRE III  –  de 22 à 32 ans

(…) Bien qu’il soit très difficile de sortir de son corps, une fois que l’on est à l’extérieur, aux moindres soucis, même légers, on n’hésite pas à le réintégrer avec la fausse idée que l’on pourra ressortir facilement, ce qui est illusoire. Plein de fois j’ai regretté d’avoir écourté mes sorties.
À propos des Anges gardiens, il y a une vérité à connaitre : Un esprit céleste qui est nommé « ange gardien » d’une âme humaine, ne l’est qu’une seule fois. Ensuite, l’ange reste avec nous au Ciel.
Voici les messages qui le révèlent : Révélation de Maria Simma (1915-2004) : Et lorsqu’une âme arrive au Ciel, que fait son Ange ?
Il reste au Ciel avec elle. Les Anges gardiens ne reçoivent la mission d’accompagner une personne sur la terre qu’une seule fois.

Ce qui confirme les propos de Mechtilde Thaller (1868-1919).
Les Anges gardiens veillent sans cesse sur les hommes qui leur sont confiés. Leur nombre est si grand, que jamais aucun Ange, après avoir accompagné au Ciel son protégé, n’est encore revenu sur la terre pour y être mis au service d’un homme d’une génération suivante. L’Ange gardien qui a assisté une personne sur la terre, demeure auprès d’elle dans le Ciel.

Voici une autre expérience de sortie : Alors que je dormais tranquillement, un rêve s’installa où je me retrouvais dans une sorte de vaisseau spatial qui était attaqué par une pieuvre géante. Plusieurs personnes venaient vers moi pour que je règle la situation, car j’étais le capitaine de l’engin. Je me dirigeais dans la salle de contrôle tapissée de grandes vitres, j’en cassais une et sortis. Le rêve se termina pour s’enchainer sur un voyage astral.
En cassant la vitre, je sortais en réalité de mon corps, traversais dans la foulée (pris par l’élan) le mur de ma chambre et me retrouvais sur un petit toit. Je fus tout surpris d’être à cet endroit. Réalisant avoir traversé le mur, je fis le tour, et rentrais dans ma chambre par la fenêtre avec prudence. Je vis alors mon frère, avec qui je partageais l’appartement, qui se trouvait en esprit près de mon corps réel, et il y plongeait ses mains, d’où le rêve de la pieuvre qui tentait de pénétrer dans le vaisseau.
Je passais à côté de lui, et je vis pour la première fois mon corps de l’extérieur, qui m’apparaissait vide, comme une chambre à air. Je m’y glissais délicatement et me réveillais. L’incident était clos. (…)

Extrait du CHAPITRE IV  –  En couple

(…) Notre premier enfant se nomme donc Augustin, et un fait surnaturel intense va se produire durant la grossesse. Dieu me donna un matin le privilège d’avoir une vision. Le rêve et la vision sont deux choses bien différentes. Si le rêve a lieu durant le sommeil, la vision arrive alors que vous ne dormez pas. Tout était très impressionnant. Tellement que mon système nerveux avait été comme « anesthésié ».
Cela arriva à trois mois de la naissance. Nous étions le matin durant nos vacances d’été, et j’étais allongé sur mon lit lorsque la vision commença. Le sujet en était une réunion de famille pour la bénédiction, ou plutôt la régénération, de la robe de baptême pour notre premier enfant. Il y avait des gens de la famille de ma femme que je ne connaissais pas (la robe de baptême appartenait à ma belle-famille) dont la mère de mon épouse qui, décédée d’un cancer quand ma femme était adolescente, venait du Purgatoire pour la cérémonie. Son corps était dans un état de décomposition fort avancé, et sous mes yeux, je le voyais se recomposer. Le spectacle n’était pas supportable, mais mon corps était comme sous l’emprise d’un fort calmant surnaturel. Une fois le corps reconstitué, il lui manquait un bras et des éléments du visage, signe que la purification ne devait pas être encore achevée.
Une fois que la recomposition du corps de ma belle-mère fut terminée, je m’approchais d’elle et lui dis que l’on s’était déjà vu, car une fois, j’avais rêvé de la Sainte Vierge qui me disait qu’elle protégeait notre famille. J’avais cru à tort que cette dame était la mère de ma femme. Lorsque, durant la vision, je dis cela à ma défunte belle-mère, une voix derrière moi m’interrompit pour me signaler mon erreur.
Puis je vis d’autres personnes arriver. La robe de baptême que je voyais et qui avait déjà servi pour plusieurs générations, fut régénérée, devenant d’un blanc éclatant. Lorsque la vision se termina, j’ouvris les yeux, toujours allongé sur mon lit. C’était une expérience éblouissante et l’ambiance visuelle et surtout sonore était d’une très forte intensité.
On savait maintenant que ma belle-mère était encore au Purgatoire, on lui fit donc dire quelques messes.

Pour info : extrait de l’ouvrage « Les âmes du Purgatoire dans la vie des saints » (Ed. Resiac).
Avant d’accéder au Paradis, les âmes des élus passent en moyenne 30 à 40 ans dans le Purgatoire… Environ une âme sur 10 000 élues va au Paradis directement.

Il est très important de s’intéresser à nos ancêtres, car des fautes qu’ils auraient pu commettre peuvent avoir des répercussions graves sur les générations futures en déclenchant des maladies génétiques inguérissables. Seule la prière à l’intention de nos défunts permet de briser cette malédiction. (…)

Extrait du CHAPITRE V  –  La vie d’après

(…) Après ma petite période d’évangélisation à domicile de deux ans, nous étions en 1998, je décidais de continuer cette activité sur le web. Par ma mère, je connaissais un peu l’univers des messages célestes que recevaient certaines personnes, souvent des religieux, mais de plus en plus de particuliers allaient en être gratifiés.
C’est en raison de ce site que l’on fit en 1999, notre voyage de noces sur un lieu d’apparition en Espagne.
Je m’étais fait la main sur internet en créant un site généalogique sur ma famille. J’y avais fait un classement par métier, ce qui m’avait permis de repérer un de mes cousins, Axel de Tarlé, qui commençait sa carrière de journaliste. Ma petite sœur Sophie, qui était également journaliste débutante, put ainsi entrer en contact avec lui.
Le pape Jean-Paul II avait invité les catholiques à prendre possession d’Internet, à y marquer une présence chrétienne. (…)
Je répondis à son appel par un premier site sans grand intérêt. Je me fis même incendier par un protestant pour des propos indélicats.
J’avais remarqué que le Vatican était une des premières institutions à posséder un site web (créé en 1995) avec, chose rarissime pour l’époque, de petites vidéos au format minuscule et en noir et blanc. Cela me donna l’idée de faire surement la première chaine TV du web avec des petites émissions de dix minutes. Nous étions en 2002, avant la création de YouTube, qui date de 2005. Mais finalement, ces vidéos me demandaient trop de temps. Je dus me limiter à l’écrit.
Mon travail consistait à mettre en ligne des messages donnés par Dieu. C’étaient des textes pour grandir en sainteté ou des prophéties sur la Fin des temps. Ces évènements semblaient très proches, mais finalement moins qu’on le pensait. Comme souvent dans les prophéties, le temps du Ciel n’est pas celui des hommes. (…)

Extrait du CHAPITRE VI  –  Vie mystérieuse

(…) Le récit du 7 novembre de mon journal personnel (ci-dessous) semblait effectivement annoncer quelque chose de guerrier.
(Samedi 7 novembre 2015) Alors que mes enfants (10 et 14 ans) s’apprêtaient à traverser la rue pour me rejoindre, j’aperçois au bout de cette rue une patrouille de militaire en tenue de guerre (habit kaki, fusil d’assaut, casque et gilet pare-balles).
Je me suis dit : « bizarre, que font ces militaires ici, nous sommes dans un coin de la banlieue parisienne, et il n’y a aucun bâtiment officiel aux alentours ». Au début, je croyais qu’ils montaient la garde devant un immeuble, mais en fait non, ils étaient en patrouille, et pile au moment où mes enfants me rejoignent, ils passent devant moi*.

* Ce qui rendait encore plus incroyable cette synchronisation, c’était que cela faisait deux mois que je n’avais pas vu mes enfants. Le moment était donc important pour moi, et le croisement avec cette patrouille de militaires eut lieu à la seconde où mes enfants m’ont rejoint.

« Étrange coïncidence que cette rencontre improbable et belle synchronisation » pensais-je. Cela doit être un signe du Ciel de quelque chose… mais quoi ? L’annonce d’une guerre ?
Puis quelques jours après, le 13 novembre, lorsque j’ai entendu à la radio le déroulé des évènements qui venaient de se produire, j’ai d’abord cru à l’énoncé du scénario d’un film. (…)

Extrait du CHAPITRE VII  –  Le monde de l’étrange

(…) Lisant le livre sur Rol au hasard des chapitres, je tombe sur celui parlant de l’altération de l’espace-temps. Gustavo et ses amis firent en voiture Paris-Lyon en 15 minutes, au lieu de trois heures minimums, car Rol voulait se rendre dans un cimetière qui fermait à 21 heures. Ils sortaient de Paris à 20 heures et à 20 h 15, ils arrivèrent en périphérie de Lyon, sans que personne dans la voiture n’ait rien remarqué d’anormal. À deux reprises j’ai vécu ce type d’expérience, et finalement, je vais vous les raconter, car j’hésitais.

Mes expériences : altération de l’espace-temps
La scène doit se passer entre 2000 et 2003, j’étais en couple et nous habitions Paris 15e. Nous passions souvent le dimanche chez mon beau-père en lointaine banlieue, et nous allions à la messe dans sa ville avant le repas. Il nous fallait environ 45 minutes pour nous y rendre, et 30 minutes quand il n’y avait personne sur la route et que c’est ma femme qui conduisait.
Ce dimanche-là, nous étions en retard pour la messe et nous n’avions que 20 minutes pour y aller. Je pris le volant et avant de démarrer, on fit une prière dans la voiture pour demander à Dieu de faire un miracle afin de ne pas arriver en retard à la messe.
Il y avait du monde sur la route et, regardant souvent le compteur, je ne dépassais pas les 60 km/h durant tout le trajet (d’ordinaire, en roulant plus vite, je mets 45 minutes) et là, miracle ! on fit le trajet en 20 minutes. On s’est regardé ma femme et moi, et l’on s’est dit : « le Seigneur est vraiment trop fort » et l’on arriva à l’heure pour la messe.

(…) Un épisode du livre où Rol fait léviter la voiture et suspendre véritablement le temps, le laisse penser. Rol avait même dit qu’ils auraient pu à ce moment-là, passer dans l’au-delà.
« Aller au Ciel en voiture ». Cela me fait penser aux apparitions de Notre-Dame du Laus (1647-1718). Benoîte, qui vit la Sainte Vierge durant de nombreuses années, fut un soir, enlevée au Ciel avec son vrai corps physique, portée par deux anges. Elle fut après redéposée à quelques kilomètres de chez elle. Une façon de nous montrer qu’il ne s’agissait pas simplement d’une vision.
Pour l’anecdote, Benoite était un peu « lourde » et elle raconta qu’elle avait eu peur qu’ils aient des difficultés à la porter ou qu’ils la laissent tomber.
Cette histoire et le récit des expériences de Rol nous montrent que nous vivons dans un univers totalement malléable, au Ciel comme sur terre. (…)

Extrait du CHAPITRE VIII  –  Interférence alien

(…) Visiblement leurs moyens semblent illimités, et je décidais de me faire oublier. Ces histoires d’aliens peuvent sembler passionnantes à vivre, mais en fait uniquement après coup, car quand vous êtes au cœur de l’histoire, et j’en ai vécu plusieurs, cela fait peur. Je m’en souviens d’une où je fus vraiment terrorisé. On ne craint pas pour sa vie, car on sent bien que tout est sous contrôle, mais on a toujours peur d’un dérapage, et l’on ne sait pas jusqu’où cela va aller.
Je suis aussi sidéré par les moyens mis en œuvre par ces gens, leur pouvoir absolu, leur omniprésence sur notre terre. Il est clair qu’ils ont Dieu avec eux, et on ne peut pas leur échapper.
Avoir un verre qui éclate en mille morceaux chez moi, par suite d’une réaction démoniaque, me fait moins peur que les actions Ange-alien. C’est leur toute-puissance qui fait peur, car on n’a pas conscience de leur action dans nos sociétés, on ne réalise pas et c’est surement voulu par Dieu. (…)

Extrait du CHAPITRE IX –  Quelques photos et leur explication